La Revue canadienne de gestion des urgences (RCGU) publie les articles au sujet du domaine de gestion des situations d’urgence au Canada. Nous vous invitons à soumettre des articles qui portent sur des thèmes qui ont trait au domaine.
Les articles publiés dans la RCGU seront gratuits et disponibles en ligne. Ils seront publiés sous une licence commune créative non commerciale (CC BY-NC 4.0). La RCGU n’a pas de frais de soumission ni de publication, ni d’abonnement.
Langues
Le français et l’anglais : les articles soumis en anglais seront publiés en anglais; les articles soumis en français seront publiés en français.
Paternité
Tout auteur doit remplir les critères suivants :
Travaux originaux
Tous articles soumis doivent s’appuyer sur les travaux originaux des auteurs. Tous les cas de plagiat suspecté fera l’objet d’une enquête et des mesures appropriées seront prises. La soumission d’une publication en double (p. ex. un article semblable à une publication antérieure) est fortement déconseillée. Tous les auteurs doivent déclarer que le contenu soumis est leur propriété intellectuelle. Les droits d’auteur et sur la publication doivent être également attribués à la RCGU.
La considération pour la publication sera initialement basée sur la soumission d’un sommaire de 250 mots qui fournit un aperçu de la thèse centrale, des théories, des concepts ou des résultats référencés. Cet sommaire n’est pas un résumé, mais un abrégé du document final.
Veuillez envoyer votre sommaire au format Microsoft WORD à submissions@cdnjem.ca
La RCGU accepte et publie différents types de contenu comme indiqué ci-dessous. Les articles de recherche sont soumis au processus d’examen par les pairs décrit ici. Tous les autres contenus sont évalués par un ou plusieurs du comité de rédaction ou leurs associés et ne sont pas revus par des pairs.
Les articles de recherche contiennent généralement de 3 000 à 4 000 mots. Ils mettent en évidence des questions théoriques, stratégiques ou politiques qui nécessitent une étude plus approfondie; de plus, ils recommandent aux intervenants de prendre en considération les “premières étapes” dans leur programme ou leur pratique opérationnelle de la gestion des urgences dans les quatre phases de la gestion des urgences. Ils ne doivent pas nécessairement représenter une question et une méthodologie de recherche originales, mais sont suffisamment nouveaux pour justifier une exploration intellectuel. Les articles de recherche sont évalués par des pairs.
Ces articles comptent entre 1 000 et 3 000 mots et sont axés sur la pratique programmatique et opérationnelle. Ils sont des explorations et des discussions sur la pratique de la gestion des urgences dans un domaine ou un contexte spécifique, et se terminent par des recommandations pratiques à l’intention des intervenants et/ou des suggestions à prendre en considération par la communauté politique et scientifique. Des citations appropriées doivent être incluses. La collaboration avec plusieurs auteurs améliorera leur validité et leur cohérence.
Les rapports de conférence sont des résumés de conférences, de sessions ou d’ateliers complets tenus pendant la dernier 6 mois qui suggérent des points d’interêts pour les intervenants et/ou les universitaires. Ils doivent refléter fidèlement les matériels présentés ou référencés par des citations fortes et doivent comprendre entre 750 et 1 500 mots.
Les critiques de livres sont des critiques constructives de livres sur n’importe quel sujet dans la gestion des catastrophes et des urgences, écrites sur n’importe quel livre ou auteur et évaluées pour la pertinence, la force et la clarité de la critique, et la valeur à l’ensemble des connaissances communes. Ils comprendre entre 500 et 1 000 mots.
Les entrevues sont transcrites à partir d’entrevues enregistrées avec des chefs de l’industrie en academia, des cercles de politique, des dirigeants communautaires et d’organisations à but non lucratif. les sujets d’entrevue doivent être exceptionnels dans leur expérience ou leur perspicacité dans leur domaine d’expertise en gestion des urgences, de sorte que l’enregistrement des entrevues ajout à l’ensemble des connaissances communes et à la doctrine de la gestion des urgences au Canada. Les transcriptions d’entrevue ne doivent pas dépasser 1 000 mots.